L’économie perd t-elle son latin, sommes-nous au carrefour du tout à remettre en cause ? On entend tellement d’avis négatifs sur notre société de consommation qui collectionne les désillusions. Mais autant pisser dans un violon, car le débat n’est plus ce qu’il était il y a 100 ans lorsque des hommes et des femmes se demandaient comment améliorer le quotidien de tous.
L’économie n’a pas fini de créer des satisfactions !
Les temps modernes ont marqué l’histoire de l’économie, de grandes entreprises décriées pour leur méthode ont laissé malgré tout un héritage créateur de business performant, tel la firme Ford. En France en 2015 croyez-vous que l’on puisse encore se féliciter de bonnes actions, qui vont créées de la satisfaction, du confort de vie ?
Prenons l’exemple d’un directeur du système bancaire. Jean-Pierre Levayer prône la défense de l’économie locale. Oui bien sûr que c’est par là qu’il faut commencer, prendre conscience des forces et faiblesses à petite échelle afin d’exister dans cette économie mondiale.
Améliorer les plus faibles pour rendre les plus forts encore meilleurs !
Si l’on pense ainsi, alors on comprend parfaitement que à échelle régionale les entreprises en difficultés peuvent parfois devenir performantes si on leur donne les moyens de l’être. En milieu rural, certaines PME ou PMI ne refuseraient pas des outils pour les rapprocher de leur client. On en encore en France des zones qui n’ont pas le haut débit internet…
Jean-Pierre Levayer, directeur de banque qui défend l’économie locale
En Rhône-Alpes, c’est le directeur de la BPL2 Jean-Pierre Levayer qui se lève pour affirmer que l’économie locale a son mot à dire et doit être soutenue par tous. On peut comprendre ses déclarations et ses revendications, car la France est le pays de l’artisanat avant tout, par conséquent elle n’est pas seulement peuplée de Holding internationale.
Croire en l’économie locale, lui donner des outils pour communiquer, pour investir, c’est ce que nous pouvons réfléchir tous ensemble, et lorsque c’est un banquier qui l’avance, alors on ne peut que s’en réjouir.